
Démarche artistique
Il est musicien, elle est danseuse. Il se nourrit de la musique actuelle, du folk et du jazz pour créer. Elle s’inspire de la gigue, du ballet et de la danse contemporaine. Ils forment Les Bordéliques, un duo interdisciplinaire à la signature éclectique qui se distingue par le caractère accessible de ses œuvres.
Au cœur de leur démarche, il y a la volonté de raconter une histoire par la danse et la musique, aussi précisément que les mots le font. Dans un langage métissé, Les Bordéliques proposent des œuvres théâtrales, narratives et clownesques où mouvements, mélodies et rythmes s’incarnent dans des personnages et des récits ludiques.
Il est musicien, elle est danseuse. Il se nourrit de la musique actuelle, du folk et du jazz pour créer. Elle s’inspire de la gigue, du ballet et de la danse contemporaine. Ils forment Les Bordéliques, un duo interdisciplinaire à la signature éclectique qui se distingue par le caractère accessible de ses œuvres.
Au cœur de leur démarche, il y a la volonté de raconter une histoire par la danse et la musique, aussi précisément que les mots le font. Dans un langage métissé, Les Bordéliques proposent des œuvres théâtrales, narratives et clownesques où mouvements, mélodies et rythmes s’incarnent dans des personnages et des récits ludiques.

Historique
C’est à Macao, le long des côtes de la mer de Chine méridionale, que l’idée de former une compagnie se dessine. Dans les coulisses du théâtre du Cirque du Soleil, Gabriel et Mélissandre commencent à créer ensemble. Forts de ce séjour en Asie où ils ont pu côtoyer clowns, échassiers, musiciens, danseurs et autres saltimbanques talentueux, les deux artistes rentrent au Québec et fondent, en 2011, le duo Les Bordéliques danse et musique (mais ça, ce n’est que leur nom de scène, car dans la vraie vie ils ne sont pas du tout bordéliques…). Leur première pièce, Le rêve de Pandore, établit clairement leur signature artistique et reçoit un excellent accueil lors de sa présentation à la Biennale de gigue contemporaine 2011 (Espace Tantente). La pièce est ensuite reprise au Festival La Grande Rencontre et à la Virée dans Villeray (Montréal), ainsi qu’au festival Les Violons d’Automne de St-Jean-Port-Joli.
Avec leur deuxième opus, Godasse et Fadièse, créé en 2012, l’influence du cirque se fait davantage ressentir. Pour le Mondial des Cultures de Drummondville, Les Bordéliques créent ici un spectacle participatif d’animation où le jeu clownesque et les échasses s’ajoutent à la danse et à la musique. Lors d’une tournée dans le Bas du Fleuve, Godasse et Fadièse font rire et danser quelque 1200 élèves du primaire.
Boursiers du Conseil des arts et des lettres du Québec, ils poursuivent leur démarche artistique avec la création de Blind Date, présenté en première à la salle Rolland-Brunelle du Centre culturel de Joliette en juin 2014. Bien implantés dans Lanaudière, Les Bordéliques prennent part à de nombreux événements de la région et reçoivent, en 2013, le Prix Jeune public des Grands Prix Desjardins de la culture. La reconnaissance des pairs se poursuit avec le Prix Excelsiors 2015 (catégorie culture), le Prix Coup de coeur 2016 des Grands Prix Desjardins de la culture et, la même année, avec le prestigieux Prix CALQ-Oeuvre de l'année en région (Lanaudière) pour "Blind Date".
En 2017, l'équipe des Bordéliques s'agrandit pour inclure de nouveaux collaborateurs et artistes, dont le violoniste Anit Ghosh.
C’est à Macao, le long des côtes de la mer de Chine méridionale, que l’idée de former une compagnie se dessine. Dans les coulisses du théâtre du Cirque du Soleil, Gabriel et Mélissandre commencent à créer ensemble. Forts de ce séjour en Asie où ils ont pu côtoyer clowns, échassiers, musiciens, danseurs et autres saltimbanques talentueux, les deux artistes rentrent au Québec et fondent, en 2011, le duo Les Bordéliques danse et musique (mais ça, ce n’est que leur nom de scène, car dans la vraie vie ils ne sont pas du tout bordéliques…). Leur première pièce, Le rêve de Pandore, établit clairement leur signature artistique et reçoit un excellent accueil lors de sa présentation à la Biennale de gigue contemporaine 2011 (Espace Tantente). La pièce est ensuite reprise au Festival La Grande Rencontre et à la Virée dans Villeray (Montréal), ainsi qu’au festival Les Violons d’Automne de St-Jean-Port-Joli.
Avec leur deuxième opus, Godasse et Fadièse, créé en 2012, l’influence du cirque se fait davantage ressentir. Pour le Mondial des Cultures de Drummondville, Les Bordéliques créent ici un spectacle participatif d’animation où le jeu clownesque et les échasses s’ajoutent à la danse et à la musique. Lors d’une tournée dans le Bas du Fleuve, Godasse et Fadièse font rire et danser quelque 1200 élèves du primaire.
Boursiers du Conseil des arts et des lettres du Québec, ils poursuivent leur démarche artistique avec la création de Blind Date, présenté en première à la salle Rolland-Brunelle du Centre culturel de Joliette en juin 2014. Bien implantés dans Lanaudière, Les Bordéliques prennent part à de nombreux événements de la région et reçoivent, en 2013, le Prix Jeune public des Grands Prix Desjardins de la culture. La reconnaissance des pairs se poursuit avec le Prix Excelsiors 2015 (catégorie culture), le Prix Coup de coeur 2016 des Grands Prix Desjardins de la culture et, la même année, avec le prestigieux Prix CALQ-Oeuvre de l'année en région (Lanaudière) pour "Blind Date".
En 2017, l'équipe des Bordéliques s'agrandit pour inclure de nouveaux collaborateurs et artistes, dont le violoniste Anit Ghosh.

Les artistes
Formé en musicologie, en improvisation et en musique actuelle, Gabriel Girouard (membre fondateur) travaille comme interprète et compositeur depuis 1999. Il a créé de nombreuses pièces musicales à saveur folklorique au sein des groupes O’Yâb, OgalO, et du trio celtique Wallop the Spot. Dernièrement, il a composé, arrangé et enregistré des pièces pour le premier album du groupe médiéval Les Ramancheurs. Lors de son séjour à Macao, il a côtoyé les artistes du Cirque du Soleil, avec qui il a suivi une formation en jeu. Cette rencontre lui a aussi permis de développer un numéro de violon sur échasses, présenté au Macau Fringe Festival 2010.
Formé en musicologie, en improvisation et en musique actuelle, Gabriel Girouard (membre fondateur) travaille comme interprète et compositeur depuis 1999. Il a créé de nombreuses pièces musicales à saveur folklorique au sein des groupes O’Yâb, OgalO, et du trio celtique Wallop the Spot. Dernièrement, il a composé, arrangé et enregistré des pièces pour le premier album du groupe médiéval Les Ramancheurs. Lors de son séjour à Macao, il a côtoyé les artistes du Cirque du Soleil, avec qui il a suivi une formation en jeu. Cette rencontre lui a aussi permis de développer un numéro de violon sur échasses, présenté au Macau Fringe Festival 2010.

Graduée du Jeune Ballet du Québec, Mélissandre Tremblay-Bourassa (membre fondateur) œuvre professionnellement comme interprète, enseignante, chorégraphe, câlleuse et animatrice depuis 2003. Son passage au Cirque du Soleil en tant que spécialiste de la gigue (1000 représentations à Macao, Chine) l’a amenée à collaborer à la création de ZAIA, à développer ses aptitudes théâtrales et à s’initier à l’art du clown. Elle a également dansé pour des ensembles comme La Bottine Souriante, Les Sortilèges, Sans Temps Danse, Rapetipetam, Wallop The Spot, Ballet Ouest et Ballet Métropolitain. Mélissandre s’inspire de la gigue, du ballet et de la danse contemporaine pour chorégraphier. Elle a créé et interprété des pièces de groupe ou des solos et duos pour le festival Juste pour rire, le festival Orientalys, Les Sortilèges, La Grande Rencontre et la Biennale de gigue contemporaine.

Anit Ghosh est un violoniste fougueux et émotif, doté d’un style de jeu très personnel qui s’inspire beaucoup des musiques tziganes turques et roumaines. À la suite de sa formation en arrangement et en composition jazz au Collège Vanier, il a fait plusieurs voyages en Inde, en Turquie, au Maroc et en France pour étudier avec des maîtres. Anit Ghosh s’est produit dans la plupart des grandes salles de spectacles montréalaises et dans de nombreux festivals à travers le Canada. Il a également participé à plusieurs tournées en Europe au sein de projets multiculturels en plus d’être récipiendaire du Prix du public au Festival de jazz de Montreux (Suisse) en 2004. Multi-instrumentiste, il joue du violon à cinq cordes, de l’alto, du oud, de la mandoline et de la guitare. Il revient tout juste d’un séjour en Inde où il a pu perfectionner son jeu de violon traditionnel indien auprès d’un maître.